Dans la majorité des cas, le recours à la chirurgie esthétique et plastique se fait pour des raisons d’ordre psychologique. En effet, l’insatisfaction de l’individu vis-à-vis de son apparence ou de sa morphologie globale lui incite à faire des interventions chirurgicales plus ou moins importantes.
Généralement, la chirurgie esthétique prodigue des effets positifs sur le moral, mais elle n’est pas à l’abri de risques de séquelles psychologiques.
Les bienfaits psychologiques de la chirurgie esthétique
L’estime et l’amélioration de la confiance en soi sont les principaux effets bénéfiques des opérations esthétiques. Le patient devient de plus en plus sociable en se débarrassant des différents complexes engendrés par les imperfections de son corps. On peut même enregistrer chez certains individus une amélioration du mieux-être qui se reflète tant sur le plan social que privé.
Par ailleurs, des études socio-anthropologiques ont montré qu’une chirurgie esthétique réussie du visage, de la silhouette ou de seins favorise une meilleure qualité de vie.
Les troubles psychologiques engendrés par la chirurgie esthétique
Une rhinoplastie ratée, un lifting du visage trop poussé ou encore une augmentation mammaire exagérée peuvent provoquer des séquelles émotionnelles plus ou moins durables. La réaction et l’impression du patient lors d’une chirurgie capotée peut parfois induire une spirale de troubles psychiques comme la dépression, l’angoisse, etc. Pour éviter ce genre de problèmes, les attentes et les souhaits de l’individu doivent être raisonnables sans oublier de faire appel à un chirurgien esthétique expérimenté à un staff médico-chirurgical professionnel et respectant le code déontologique.
Parfois, le changement provoqué par l’intervention induit chez certaines personnes un profond mal être qui se traduit par le refus du nouvel aspect physique. Dans ce cas, des consultations avec un psychologue ou un psychiatre sont recommandées pour traiter ces désagréments psychologiques.