L’ancienne candidate des « Anges » Kim Glow a enchaîné les opérations de chirurgie esthétique ces dernières années : une augmentation mammaire, des prothèses au niveau des fesses, une liposuccion… Et Aujourd’hui, le corps de la starlette en paye le prix, et la candidate de télé-réalité regrette d’avoir trop eu recours à la chirurgie esthétique.
En 2013 dans Les Marseillais à Cancún (W9) Kim Glow avait été connue du grand public, la jolie brune était allée sur le tournage faire une surprise à sa meilleure amie de l’époque, qui est Shanna Kress.
Avec le temps et au fil des émissions de télé-réalité, de son vrai nom Sophie Laune, Kim Glow, s’est créé un personnage : celui de « la bimbo siliconée et écervelée ». Actuellement la star a 35 ans, et elle regrette ses multiples opérations de chirurgie esthétique, elle ne s’y reconnaît plus.
Kim Glow regrette la chirurgie esthétique : « ce n’est plus moi »
Kim Glow a fondu en larmes lors d’un cours de danse, en effet, sa jambe gauche la fait souffrir depuis une opération de chirurgie esthétique ratée… « En fait j’ai subi une liposuccion… Ça ne se voit pas esthétiquement, mais la peau s’est mal recollée. Quand je danse, j’ai super mal », avait regretté la jeune starlette.
Ayant fait plusieurs interventions, Kim Glow n’a pas seulement regretté sa liposuccion, car elle a continué en disant : « Et ma poitrine… Je n’ai plus de centre de gravité. C’est trop lourd, ça me gêne. Ce n’est plus moi. »
Son imposante plastique l’empêche ainsi de danser librement, la jeune femme était entre rires et larmes : « Je ne sais plus tourner, je te fais un ou deux tours pas plus… »
Ces années passées sous les mains des chirurgiens, pour de nouvelles fesses ou une augmentation mammaire, la jeune femme a perdu son talent de danse. Elle a d’ailleurs fait 7 ans sans être dans les studios de danse.
« À cause de toutes opérations, j’ai laissé tomber ma passion », avait-elle conclu avec regret.
Il faut aussi souligner qu’en janvier dernier, Kim Glow annonçait avoir eu recours à une réduction mammaire, juste après le tournage de ce reportage.